Noir et bordé d’or et en son centre une tête de mort
Bonjour à vous voyageurs et merci de prendre quelques temps pour écouter mon histoire. Je me présente, je suis Bhorthra. Aujourd’hui je ne suis plus qu’un Orc vieillard qui se fait un devoir de rappeler l’histoire de mon peuple. Je vais vous conter le jour où je les ai vu de mes yeux vus.
A cette époque, je n’étais encore qu’un gamin. Je n’avais que 7 ans et j’habitais avec mes parents dans la fière capital de mon peuple, Orgrimar. En ces temps, la guerre entre la Horde et l’Alliance battait son plein. Cela faisait bien une semaine complète que l’Alliance bloquait les porte de la ville. Plus aucun moyen d’y entrer et pire, plus aucun moyen d’y sortir. Certes, de nombreuses guildes, parmis les plus puissantes du royaumes était venue en aide à Thrall et son armée. Mais l’adversaires était bien trop nombreux. Des humains, des nains, des elfs et encore bien d’autres horreurs que les dieux avaient mit sur terres, continuaient à renforcer le siège de la ville.
Nuit après nuit, les vaillants héros de la Horde se lançaient à corps perdu dans des combats d’une grande violence. Tous les matins, les corps de mes frères et de leurs amis de la Horde recouvraient le sol de Curator. Jour après jour les vivres et l’eau diminuait à grande vitesse. L’espoir de voir le bout du calvaire commençant à disparaître des âmes des plus valeureux d’entre nous. Les prêtres priaient heures après heures, offrant sacrifices sur sacrifices à leur dieux en leur demandant qu’une aide, un soutiens ou même une lueur d’espoir viennent réchauffer le morale des habitant d’Orgrimar.
C’est en plein milieu de cette enfer que j’entendis parler d’eux pour la première fois. Un matin ou, de nombreux blessés tapissaient le sol, ma mère me raconta l’histoire d’une troupe de mercenaires légendaires. Des héros n’écoutant que leurs propres règles et travaillant souvent pour leur maîtresse Sylvanas. Des mercenaires dont on disait que leur courage n’avait d’égale que leur agilité au combat et leur maîtrise de la guerre. Une guilde dont le nom seul, faisait trembler les nains les plus farouche au fond de leurs auberges. Fable ? Légende ? Je n’arrivais pas a croire ce que je venais d’entendre.
Mon père, entendant cela, mi-terme à l’histoire de ma mère : « Arrête, il ne s’agit la que d’une fable, un conte pour enfant ou encore un belle histoire qui se raconte sur le bord d’un comptoir. . En effet, personne ne connaissait l’existence d’une telle troupe. Personne n’a encore entendu ni vue un seul membres de cette soit disant bande de mercenaires.
La journée passa et l’histoire de ma mère ne pouvait quitter ma mémoire. Et si c’était vrai. Et si une troupe de mercenaires existait vraiment ? Pourquoi n’était-elle pas la pour défendre Thrall et sa capital? Les catapultes de l’alliance pilonnaient les murs de la forteresse. Toute la journée, les guerriers encore valide pour le combat se reposaient pour reprendre de plus belle ce soir.
Il devait être environ 19 heures. La nuit commençait à tomber, faisant monter l’odeur du sang de la veille et la tension palpable du combat s’annonçant. Encore une nuit ou mon peuple et celui de la Horde allez connaître meurtre, combat, et tristesse. Je me souviens encore. Ce soir la, mon père m’a pris dans ses bras comme pour me dire au revoir une dernière fois. « Prend soin de ta mère. Soit un fils méritant et un Orc emplie de courage ». Je pouvais lire dans son regard que cette nuit serait encore plus lourd de conséquence que les 6 précédentes.
Soudain, du fond des terres de Curator, un échos de tambours de guerre. Cela venait du sud. Ce son était si terrifiant, si puissant, que les combattants, aussi bien de la Horde que de l’Alliance, se sont tuent. Plus un bruit. Au milieu des tambours, on pouvait tout juste distinguer quelque chant de bataille. Plus les tambours s’approchaient, plus nous pouvions entendre des pas de chevaux lourds, de Kodo ou encore de Raptors. Soudain un garde, cria « Grande troupe en approche ». La peur remplie à nouveau nos espoirs. Nous ne pouvions savoir si les gens qui s’approchaient été des notre ou pas. Thrall demanda alors si l’on pouvait distinguer un étendard. Le garde ne répondit pas de suite. Un silence des plus pesant avait envahi la ville. Dix minute plus tard, le garde cria « Emblème en vue. Il s’agit de l’emblème de Dame Sylvanas. Mais il y a un deuxième étendard que je ne reconnais pas. Il est noir, bordé d’or et en son centre une tête de mort ».
Je me précipita alors sur le chemin de ronde qui entourait la ville. Et la j’ai pue apercevoir deux silhouette en haut de la colline. Visiblement il s’agissait de deux Mort vivants. Mais ce n’était pas possible. Deux chétifs mort vivant ne pourraient pas faire tant de bruit. Soudain l’un des deux leva le bras. Plusieurs Cornes de bataille se mirent à raisonner. Des cri, des chants et le son d’armes frappant sur des boucliers suivirent la mélodie entamée. Un nuage de poussière se leva alors de derrière la colline. Puis apparue derrière les deux mort vivants, non pas des dizaines, ni même des centaines, mais bien des milliers de guerriers. Ils portèrent tous une et même tabard. Le symbole de la tabard, personne ne le connaissait. Elle représentait la même chose que sur l’étrange étendard accompagnant celui de Sylvanas.
En me retournant, j’aperçus Thrall sourire. Visiblement et a la vue de son regard, il connaissait ces gens. Il ordonna alors à ses troupes de se tenir prêt. Les commandants de son armées commencèrent à placer les Orcs en position de combat. Catapultes chargées et lames affûtées prêtes à servire notre cause. Et la Thrall pris parole.
« Mes frères, ce soir la victoire est proches. Je vous le dis. Ne vous posez aucune question sur la troupe qui vient d’arriver. Tout ce que je peux vous dire et que ce soir, l’Alliance contera ses morts par milliers. Quand je vous en donnerai l’ordre, je veux que tous ensemble nous montrions que la Horde n’est pas morte. Que la Horde renaîtra toujours face a l’oppression de l’adversaire. Et ce soir, je serais à vos cotés, juste derrière les mur de cette citée. Ce soir je taillerai le chère de l’Alliance a vos cotés. Ce soir nous gagnerons. POUR LA HORDE. »
Tout en écoutant le discours de Thrall, j’observais les mystérieux guerriers qui venaient de s’inviter à la bataille. Visiblement leur chef été une mort vivante secondé par une magicienne au vue de l’aura qui l’entourée. Comme pour préparer un grand événement. La mystérieuse troupe avait fais des feux de camps ou grillaient à l’odeur, des sangliers et de la chère d’elf.
La nuit avait déjà plongé Curator dans l’obscurité. De la colline descendaient par milliers des torches enflammées. L’atmosphère se faisait ressentir de plus en plus lourde. Puis soudain une flèche lumineuse traversa le ciel. A ce moment là, Thrall donna l’ordre aux catapultes de lancer leurs lourdes charges. Des cries déchirèrent la nuit. Le combat commença éclairé par la lueur de la pleine lune. Les mercenaires avaient lancé l’assaut. Des cries, des râles se faisaient entendre. Une partie d’entre eux avait contourné l’armée de l’Alliance, pendant que l’autre, avec a sa tête toujours cette mystérieuse mort vivante, fonçait à pas décidé sur l’ennemi dérouté. Des éclaires parcouraient le champ de bataille. Sûrement du au puissant sorts des mages ou autres démonistes. Les mercenaires avancés tel une marée sur les corps des envahisseurs. Tranchant gorge et tête , fracassant membres et armures, les voilà aux lourdes portes scellées d’Orgrimar.
Les troupes de l’Alliance étaient désormais divisées en deux. (où je dois dire pour certain de leurs membres en trois ou quatre morceaux). C’est alors que la deuxième partie de troupe mystérieuse entra en action. Une seconde charge des plus héroïque et tout aussi puissante que la première, mis en fuite un grand nombre de l’Alliance. Suite à cela, voilà l’armée complète à la tabard inconnue se retrouvant devant les portes de la citée, créant un mur d’armure et d’arme entre la capital et le siège.
« Compagnie lève toi ; Nous sommes ici pour défendre Orgrimar. Tuez, fracassez, violez et pillez nos ennemis. Pour la Gloire de la Compagnie NOIRE ». Une troisième charge se lança sur l’armée de L’alliance divisée. Thrall ordonna à son armée d’ouvrir les portes de la ville et de rentrer en combat. Les cadavres ont peines reconnaissables de l’alliance tapissaient le sable de Curator. L’odeur du sang donnait à nos guerriers le courage tant mis à l’épreuve. Le combat dura toute la nuit. Beaucoup de blessés étaient apportés aux prêtres de la ville. Curieusement, pas un seul portant la tabard de la Compagnie NOIRE. J’ai entendu par la suite, dans cette compagnie, il n’y a point de blessés. Soit des valides, soit des morts.
A l’aube, le combat pris fin. Thrall s’approcha de la mort vivante et cria : « LEIWELLA, toi et les tiens avaient sauvé Orgrimar. Tu auras ma reconnaissance. Parle et tu auras. ».
La mort vivante pris alors la parole :
« Thrall, fière chef de la Horde, sache de Sylvanas m’envoie et donc m’a déjà récompensé. Sache bien que si elle ne me l’avait pas demandé. Nous nous serions pas déplacé. Soigne tes blessés. Guide ton peuple et je te dis à jamais. »
Leiwella leva une dernière fois son bras. Comme d’un accord, toutes ses troupes se mirent en rang. Lorsqu’il retomba le bras, les mercenaires se remirent en route.
Oui cher voyageur. Cette Compagnie Noire a bel et bien existée. On dit même que, quand un conflit éclat quelque part en outre terre, on peut encore voir un emblème noir bordé d’or et en son centre une tête de mort.
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