La compagnie noire
Cette histoire a donc pour lieu
Des couloirs sous le ciel bleu,
Jamais, jamais ne fut visible,
Où tout ce qui bouge sert de cible.
Que font ces intrépides aventuriers
Aux remparts de cette instance ancestral
Aux lourdes portes pourtant scellées
Et qui s’ouvrent sur un immense dédale ?
Ils sont partis souffler sous le nez
De Prêtres, de trolls, de toute une armée
Des artefacts d’une grande renommé
Qui à jamais devaient rester cachés.
Nos aventuriers n’étaient pas seuls.
Des gardiens les attendaient sur le seuil
Guerriers, mages et chamans décharnés
Avançaient à pas lent par la nuit camouflés.
Un à un les vigiles furent défaits
Par la magie, le bois et l’acier.
Ils retournèrent à la puante poussière
Qui recouvrait leur grand cimetière.
Les pièges les plus vils furent évités
Et Mar’li,Venoxis et Jeklik furent tués
La compagnie avait réussit avec brio mais sans fierté
Car la fatigue les éreintés
Ils se reposèrent enfin au milieu des ossements
Pour soigner leurs blessures et compter le temps
Qu’ils leurs avaient fallut pour vaincre vaillamment
L’instance dont je tairais le nom prudemment.
Ainsi après une bataille que l’on savait gagnée
Nos braves aventuriers content mais éreintés
Se rendirent a l’auberge pour enfin savourer
Un fait d’arme que jamais ils ne pourront oublier.